• l'accoutumance est la tendance à augmenter les doses pour continuer d'obtenir les mêmes effets, le phénomène d'accoutumance existe pour tout, que ce soit une substance psycho-active (stupéfiant) ou un niveau sonore, notre corps est fait pour s'adapter et s'adapte à tout élément auquel il est régulièrement soumis.L'accoutumance n'induit pas nécessairement une dépendance physique mais souvent une dépendance psychique.

  • le bad trip ne se contrôle pas, ne se prévoit pas, ne se combat pas.Un bad trip peut être induit par n'importe quel produit même si certains favorisent plus son apparition ( notamment les hallucinogènes ).Un bad trip a différent degré, ca peut être un espèce de tiraillement désagréable pendant tout le délire, à une sensation d'être observé, jusqu'aux vraies hallucinations, visions d'horreurs and co. Quoiqu'il en soit le bad trip se subit, plus vous tenterez de lutter contre, plus il sera présent, le seule chose à faire est de l'accepter.Si vous vous trouvez confronté à quelqu'un en plein bad trip, parlez lui calmement même si vous arrivez en souriant, dans son délire il vous voit peut-être autrement, essayez de lui rappeler que son état est induit par quelque chose qu'il a pris et que cela va donc forcément s'arrêter à un moment.

  • le terme de dépendance sert à désigner un état où votre organisme a intégré la "drogue" comme étant un élément nécessaire à son fonctionnement. -Ce besoin de "drogue" peut être psychique cad vous pensez que seul l'état second que vous procure la "drogue" est un état satisfaisant pour vous ; la prise de conscience aboutit souvent sur des états dépressifs et suicidaires.-Ce besoin de "drogue" peut devenir physique, votre corps considère l'apport de "drogue" comme un élément à part entière de son cycle au même titre que des substances qu'il fabrique lui-même, votre organisme vous fait donc sentir physiquement qu'il a besoin de la "drogue" pour fonctionner, le phénomène de dépendance physique est évidemment accompagné d'une dépendance psychique dont l'unique but tend à éviter la crise de manque ; prise de conscience difficile, prise en charge nécessaire.Tous les produits n'induisent pas une dépendance physique.

  • il s'agit de l'après, quand le produit cesse de faire effet. Certains produits s'estompent d'eux-mêmes, d'autres vous filent la très connue "gueule de bois", l'arrêt de certains effets peut vous laisser vanné et déprimé, quoiqu'il en soit, il faut savoir que vous pouvez avoir une descente et que cela peut ne pas être cool.Les conseils d'usage recommandent de ne rien prévoir d'important dans les jours suivants, de se reposer, de faire des trucs simples et débiles avec des potes, genre revoir tous les "gendarmes" en vidéos.

  • kéta, spécial K, spé, kitkat, poudre d'ange, etc...Anesthésiant vétérinaire détourné de son usage de départ.Réputée pour donner de grosses hallucinations, la kéta n'est pas conviviale : c'est déjà assez dur de gérer une décorporation sans devoir en plus en parler avec tout le monde !Etant un anesthésiant, la kéta insensibilise sérieusement.Se sniffe, s'ingère, s'injecte ; présentation en poudre, liquide, comprimé.risques à haute dose : bad trip, comaconseil d'usage : petite quantité !